COLLOQUE LE BRUIT DANS LA VILLE


LE BRUIT DANS LA VILLE

Le colloque de l’an 2010 du Master 2 Villes et Territoires

 

Introduction au colloque

Pour fêter les 25 ans de la formation du Master 2 «Villes et Territoires, politiques et pratiques de l’urbanisme», son association, l’Association Nantaise d’Aménagement et d’Urbanisme (A.N.A.U.), organise un colloque le 15 octobre 2010 sous la thématique du « Bruit dans la Ville ». 

Auparavant délaissé, le thème du bruit s’impose en effet comme une problématique urbaine d’intérêt récent pour les chercheurs et ingénieurs. Parmi les cinq sens, géographes et architectes ont longtemps privilégié la vue (au travers de l’analyse paysagère/recherche de formes urbaines « originales »), le toucher (relation ville-campagne/invention de nouveaux matériaux), et il y a peu le goût au festival international de la géographie de Gérardmer en 2004.

Alors que se profile la recherche d’une ville plus généreuse, « sensuelle » et durable (Cf Place Publique n°22, juillet-août 2010, « Villes sensibles, villes sensuelles »), l’ensemble des urbanistes se tourne désormais vers l’ouïe. Le bruit apparait à la croisée des chemins entre les problématiques géographiques, architecturales et juridiques.

Finalement, qu’est ce que le bruit dans les villes ? Est-ce une nuisance ou une ambiance urbaine ? Ou est-ce que le bruit dans la ville est les deux à la fois ? La première table ronde regroupant des intervenants d’horizons différents va essayer de cerner et de voir comment le bruit peut être perçu et caractérisé dans le milieu urbain par les acteurs qui font aujourd’hui la ville (du simple citoyen à l’urbaniste aménageur – table ronde 1).

Plus précisément, cet essai de définition s’accompagne d’une description du bruit, dans sa mesure et dans son interprétation, afin de voir l’utilité de la modélisation et de la cartographie acoustique, de comprendre pour quel utilisateur la conçoit-on, et enfin vers quels usages et quel renouvellement de l’aménagement sonore urbain sert-elle.

Pour faire le lien avec la deuxième partie de la journée, une intervention soulignera que la prise en compte des contraintes du bruit dans l’aménagement d’infrastructures urbaines n’est pas sans conséquences sur la conception et les usages associés, et peut faire l’objet de conflits localisés entre les collectivités locales, l’Etat et la population.

Ainsi, intégrer la problématique du bruit dans l’élaboration des projets urbains entraîne des changements de comportement dans la conceptualisation de la fabrique urbaine, et dans les différents types d’ambiances générées.

Actuellement, comment est traitée cette problématique au niveau de la planification urbaine des villes françaises, en particulier à Nantes ? Les aménageurs envisagent aujourd’hui la ville sonore dans son ensemble ; c’est autour de cette idée que s’animera le débat de la seconde table ronde (table ronde 2).
La journée sur « le bruit dans la ville » se termine par un débat décomposé en deux temps. D’une part, un exemple architectural plus précis sera développé. Il s’agira à la fois d’observer la façon dont un bruit précis peut être pensé dans la construction d’un projet urbanistique et architectural, et d’en comprendre les implications opérationnelles.

D’autre part, résultant de la mobilisation continue de la formation du master 2 « Villes et Territoires – promotion 2009/2010 » autour de cette problématique, un des travaux étudiants vous sera présenté. Un des projets urbains élaborés à l’occasion des ateliers, valorisera donc la démarche de projet et la traduction opérationnelle retenue à l’issue de celle-ci. Enfin, une vidéo du voyage de la formation sur le bruit dans les villes d’Europe du sud, à Lisbonne et à Porto, sera diffusée pour clôturer cette journée.

La guerre des ondes
La crise de l’espace sonore

par Christophe Noraz, étudiant en Master 2 Villes et Territoires

A l’instar de l’apparition du téléphone portable et du baladeur mp3 dans la sphère de l’espace public, l’irruption critiquée de la « vuvuzela » dans les stades de football offre l’occasion de repenser certaines pratiques de l’espace urbain, en mettant en perspective la qualité du paysage sonore dans la fabrique auditive de la ville d’aujourd’hui.

Le silence, comme la solitude, sont les proscrits de la société actuelle. La submersion sonore dans laquelle nous sommes plongés (multiplication des sources, diversification de leur nature, augmentation de leur intensité) modifie le cadre d’écoute de la ville, transformant nos modes de vie et nos relations à l’espace.
Quand sonne la vuvuzela…
Pourquoi la vuvuzela – cette longue corne qui produit un mugissement étrange, sourd et puissant (jusqu’à dépasser les 120 dB) – phénomène culturel devenu indissociable depuis quelques années de la pratique footballistique de tout un pays, a provoqué un tollé presque général à travers acteurs et spectateurs de l’actuelle coupe du monde de football ?Si la puissance du volume sonore dégagé est sans conteste un facteur de dangerosité lié à la surdité, le sens de l’ouïe est grandement sollicité peu importe le match et son lieu. Chants, acclamations, cris, martèlement… pour le plus ultra des fans comme le plus néophyte des publics, un stade de football constitue un lieu de vie, d’animation ou même de communion, d’une intensité qui s’amplifie voire se déchaîne en fonction de l’enjeu et la qualité du match, de la composition du public, de la disposition spatiale des lieux1.Aux traditionnels chants des clubs anglais issus du folk populaire, répondent les puissants chants brésiliens (le fameux « horto magiko ») auxquels font échos une coutume locale sud africaine, pour les supporters comme les joueurs, la vuvuzela.Si celle-ci a toujours eu un aspect traditionnel, elle ne s’est pourtant démocratisée qu’assez récemment, sa production en plastique par série la rendant aussi indispensable aux supporteurs que le ballon aux joueurs.Il s’agit donc d’une composante de la construction du paysage sonore des stades de football sud-africains. Paysage radicalement différent de celui auquel nous sommes accoutumés, et qui a donc provoqué la souffrance, du moins le désagrément, de nos chers commentateurs, joueurs, et écrans de téléviseurs. Spécificité culturelle locale, notre environnement sonore habituel lui est étranger. Mais le principal fait reproché à la vuvuzela, outre son timbre et son intensité sonore, c’est qu’elle retentit en continu et donc en s’affranchissant de ce qui se passe sur le terrain. Elle devient un bruit de fond, un bruit parasite, inerte, qui n’accompagne en rien le déroulement du match.Le paysage sonore qui s’en dégage – notion née en 1970 avec Murray Schaeffer et son fameux ouvrage du même nom2 – devient donc brouillé, confus et insaisissable. Dès lors que les signaux sont si nombreux, si peu hiérarchisés et différenciés, la complexité du paysage sonore devient illisible.
Par les mutations de la société contemporaine, la mondialisation des langages sonores produit, entre autres, une harmonisation de ce paysage. Cette harmonisation n’est pas à entendre comme le monopole d’une culture musicale unique mais comme l’appropriation des grands modes de diffusion internationaux par les cultures musicales locales : « si les tubes qu’on peut entendre aujourd’hui à Abidjan, à Bangkok ou à Lima diffèrent de ceux de Paris, Londres ou New York, c’est que la mondialisation des marchés ne remet pas nécessairement en cause la force des identités3. »
Il n’existe donc pas de société sans musique, et toute musique est à considérer comme le mélange entre tradition et expression d’une époque : elle est une empreinte sonore du contexte dans lequel elle s’inscrit.
Et si, aujourd’hui, espace urbain rime souvent avec espace bruyant, le bruit, sous toutes ses formes, dans toute sa richesse, constitue un paysage sonore qui est une dimension incontournable de la ville, une de ses grilles de lecture.
Parler du paysage sonore, c’est donc évoquer une certaine harmonie, une certaine cohérence, voire même une certaine musicalité. Mais c’est également révéler une partie du foisonnement inhérent à la ville. Chercher à clarifier le paysage sonore revient à en éliminer les perturbations donc la complexité, et donc finalement une partie de la richesse.
S’il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, malchance et fatalité font souvent que ce que l’on entend n’est généralement pas ce que l’on veut…
C’est là le lot du monde sonore, souvent subi et rarement choisi, souvent entendu mais rarement écouté. Qui prend le temps de l’écouter, le décortiquer, le comprendre ? Il devient de plus en plus difficile de ne plus seulement « entendre », mais bien « d’écouter », donc de manière consciente et attentive, à une époque où nous sommes de plus en plus assaillis par des vagues d’ondes de toutes sortes et de toutes origines.
Les nouveaux territoires du sonore : espaces virtuels, univers personnels
Aujourd’hui la grande majorité des acteurs de la scène publique appréhende majoritairement la question du bruit par une lutte contre ses nuisances et ses effets. Lorsque politiques publiques et dispositifs architecturaux se cantonnent à la protection et la gestion du bruit, l’idée de suppression, quand elle est affichée, aboutit immanquablement à un filtrage (qu’il soit partiel ou total). Le filtrage des bruits indésirables est cependant – et en premier lieu – une aptitude individuelle de protection, une défense immunitaire face à cette submersion sonore.
On peut vivre un concert de musique « hard rock » de deux façons radicalement différentes : on peut s’en nourrir, l’appréhender comme une expérience énergisante, ressourçante et bénéfique, ou au contraire s’en protéger, le considérer comme nuisance, le supporter comme un moment éprouvant voire insupportable. Donner du sens à un son, c’est le considérer, l’interpréter, le qualifier, c’est l’apprivoiser pour le rendre « audible ». C’est une question de disposition liée à l’histoire culturelle individuelle, mais également une affaire de choix, d’affinité voire de tolérance. Pour ainsi supporter la présence des vuvuzelas, il n’est que trois options : apprendre à l’aimer, se couper du paysage sonore, réussir à en faire abstraction.
S’isoler des bruits extérieurs est aujourd’hui devenu une chose relativement simple grâce à la multiplication des casques « fermés » (coupe-sons, isolants aussi bien de la réception des bruits extérieurs que d’une possible émission).
3 citation tirée de l’exposition « l’air du temps » (jusqu’au 26 septembre 2010 au Musée d’Ethnographie de Genève) qui propose une réflexion sur les rapports entre musique(s) et société(s), de la musique comme écho de la diversité culturelle et partie intégrante de toute société. S’appuyant sur des supports éclectiques (musiques villageoises d’antan, chansons tsiganes modernes, musiques populaires de Roumanie, le monde des « tubes », etc.) cette exposition entraîne le visiteurs à travers un dédale de salles obscures où sont présentés vestiges d’instruments et de disques, le tout sur des fonds sonores de musiques populaires interactifs, en cherchant à identifier ce que les différentes sociétés appellent « musique ».
L’objectif poursuivi est la négation de l’intégralité du paysage sonore afin de pouvoir s’immerger dans un environnement que l’on choisit, peuplé alors de nos seules pensées. Pour supporter ce face à face avec soi, il devient d’usage de lui associer une source sonore (radio ou musique) qu’il
va s’agir de pouvoir entendre le plus distinctement possible par rapport aux bruits de la rue : on se coupe du bruit pour mieux pouvoir en rajouter… Et c’est dans ce sens que nous poussent les dernières évolutions technologiques de l’industrie audiovisuelle, concentrés de puissance acoustique sur commande4.
Si le silence (absolu) n’existe pas, et si celui-ci n’est certes pas synonyme de confort, nous fait-il si peur pour que l’on ait besoin d’écouter de la musique en permanence, même pour dix minutes debout au milieu du fracas d’un tramway ?
« La véritable musique est le silence », disait Miles Davis, est-ce un sentiment propre à notre époque, cette sensation de déboussolement, d’isolement, de solitude dans l’immensité de la ville, qui conditionne notre attachement à ces musiques si rassurantes dans leur écoute à la demande, cette connexion instantanée à un monde qui nous est propre ?
Le téléphone portable, lui, va encore plus loin : il permet d’être à la fois dans l’espace physique (mais déconnecté, de façon inattentive) et dans l’espace virtuel, dans le lieu immatériel et bien difficilement localisable d’une conversation téléphonique avec l’autre. Non seulement il rassure mais il affiche publiquement une existence sociale en bonne et due forme, il révèle un lien : je ne me contente pas d’écouter de la musique mais par cette conversation, je revendique mon appartenance et marque mon lien d’intégration à la société.
La quête de l’intimité
Ces deux objets (téléphone portable et baladeur mp3) aboutissent donc à la même conséquence : la construction d’un espace virtuel, individuel ou partagé, s’établissant sur commande.
S’isoler de l’univers proche et se réfugier dans un monde – imaginaire ou non – mais un monde à soi. C’est la construction d’un entre-soi temporaire, une errance entre espace physique et espace virtuel, un agencement hors du monde…
Reste alors l’abstraction naturelle, cette capacité qui nous permet d’entendre (ou de voir) uniquement ce que l’on veut (ou ce que l’on ne veut pas). C’est l’utilisation d’une disposition naturelle, physiologique, humaine… abstraire, c’est refuser, donc combattre, donc entrer dans le domaine de la lutte5… la dernière ressource de la liberté…
Or, force est de constater que la ville contemporaine est devenue le siège de l’espace virtuel. La crise de l’espace sonore se rattache donc bien évidemment à la crise de l’espace public. Si la ville a toujours fonctionné par réseaux, ce système de relation devient de plus en plus prédominant aujourd’hui6. Les relations virtuelles prennent le pas sur les rencontres physiques, l’espace public s’invente dans de nouveaux territoires, l’espace virtuel prend de plus en plus d’importance.
Dans une ville aux limites de plus en plus estompées, l’espace sonore se diffuse et se dilue comme l’espace virtuel.
Pour s’isoler du bruit, dispositifs physiques et architecturaux mettent ainsi l’accent sur l’isolation acoustique (prestigieuses salles de concerts et mur anti-bruits). Nos barrières psychologiques pourraient quant à elles être représentées sous la forme d’enveloppes malléables qui se modifient en fonction de nos interactions. Ces différentes « bulles » représenteraient ainsi le besoin de distance minimale de sécurité de notre espace vital, les limites de notre sphère personnelle. Chaque individu construit ainsi en permanence une zone de recul dont il fixe lui même les limites en fonction de l’environnement dans lequel il se trouve7. Et si l’intrusion d’une personne physique en représente une violation, il en va de même pour une onde sonore. Est-ce qu’un téléphone portable qui clame en pleine rue une musique (et qui ne sonne pas forcément très mélodieuse à nos oreilles) ne peut être vécu comme une agression ? Est-ce qu’un simple déambulement dans une artère commerciale de plein air doit forcément être accompagné par la diffusion en continu de musiques « commerciales » par un haut-parleur ? Il ne s’agit plus d’un besoin de silence mais bel et bien d’un appel de liberté.
Comme le vuvuzela, l’environnement urbain contemporain agresse le paysage sonore, le sature et élimine la richesse de ses ambiances, le sollicitant continuellement par un trop-plein de signaux sonores et brouillant sa perception. Si le bruit est un révélateur de l’existence d’une vie urbaine, la construction d’une ambiance urbaine ne peut se faire que par un environnement sonore de qualité. Comme le cri des mouettes évoque la présence de l’océan, celui des vuvuzelas nous rappellera désormais l’ambiance frénétique des stades de football sud africains…
La figure de la bulle n’est donc qu’une question de liberté et d’intimité, entre ce qui est induit et ce qui est subi. Celle de l’intimité comme d’un droit fondamental, d’un processus éminemment nécessaire à la vie en collectivité, qui la permet et la facilite8. Qui permet de se construire soi pour pouvoir construire sa rencontre avec l’autre. Dans un monde stigmatisé et assiégé par une multitude de stimulus de toutes origines, la rencontre de l’entre-soi devient de plus en plus fondamentale. Souhaitons néanmoins que cette rencontre se passe en musique…
1 voir à ce sujet les recherches de l’urbaniste Jean-Michel Roux, docteur en aménagement et maître de conférence à l’Institut d’Urbanisme de Grenoble, sur la venue au stade comme la participation à une expérience sensible. Un ultra est un fan qui « va au-delà du soutien classique » et qui s’organise généralement en groupes sociaux.
2 Schaeffer Murray, Le paysage sonore. Notamment l’idée selon laquelle le paysage sonore s’organise selon un bruit de fond d’une certaine nature (qu’il appelle « tonalité ») des sons de premiers plans de natures différentes, qui se détachent comme des figures sonores (qu’il nomme « signaux ») et une construction culturelle (qu’il identifie comme « empreinte »).
3 citation tirée de l’exposition « l’air du temps » (jusqu’au 26 septembre 2010 au Musée d’Ethnographie de Genève) qui propose une réflexion sur les rapports entre musique(s) et société(s), de la musique comme écho de la diversité culturelle et partie intégrante de toute société. S’appuyant sur des supports éclectiques (musiques villageoises d’antan, chansons tsiganes modernes, musiques populaires de Roumanie, le monde des « tubes », etc.) cette exposition entraîne le visiteurs à travers un dédale de salles obscures où sont présentés vestiges d’instruments et de disques, le tout sur des fonds sonores de musiques populaires interactifs, en cherchant à identifier ce que les différentes sociétés appellent « musique ».
4 « un basculement immédiat du mode musique au mode conversation téléphonique », « comme si le monde a été étouffé »… slogans publicitaires de l’un des derniers nés des écouteurs d’une grande marque audio. Pour fuir la réalité encore plus loin et encore plus vite…
5 référence à Michel Houellbecq dans « L’extension du domaine de la lutte », et cette perpétuelle tension, ce choix toujours renouvelé du balancement entre le domaine de la règle et celui de la lutte…
6 ou du moins, la pensée de ce mode de fonctionnement, exacerbé par le développement des technologies de communication qui accroissent et multiplient les résidences de l’espace virtuel, à l’heure où l’espace public urbain construit se réduit. Voir à ce sujet l’excellent essai de Marcel Hénaff sur la disparition du modèle urbain classique, l’émergence (ou le renforcement) de nouvelles variables de la condition urbaine, et la crise de l’espace public de la ville contemporaine (Hénaff Marcel, La ville qui vient).


Intervenants

Guillaume Faburel est géographe de formation et docteur en Aménagement, urbanisme et politiques urbaines, Maître de conférences à l’Institut d’Urbanisme de Paris (Université Paris Est) et responsable de la formation « Environnement, paysages et territoires » du Master Urbanisme et Territoire de l’IUP.  Directeur du Bureau de recherches Aménités : Aménagement, Environnement, Territoires, ses travaux de recherche portent : sur les effets territoriaux des pollutions et nuisances urbaines (ex : dynamiques résidentielles), ainsi que des politiques d’environnement (ex : planification) et de développement durable (chartes, observatoires, indicateurs…) ; sur les vécus environnementaux et leurs inégalités en ville (nuisances sonores, calme, bien-être, qualité de vie…) ; ou encore sur les conflits d’environnement dans le champ de grands projets d’aménagement.
Sur le thème du bruit, après une thèse sur le coût social de celui des transports, et un séjour post-doctoral au M.I.T. sur les conflits aéroportuaires pour cause environnementale, il est co-auteur avec Nathalie Gourlot pour le MEEDDM du Guide national sur les zones calmes (2008), ou encore a coordonné le programme de recherche SASUPHII sur la place de l’habitant dans les études et recherches scientifiques sur le bruit, et dans l’évaluation sonore pour l’action urbaine et territoriale (2010). A notamment co-dirigé le n° spécial d’Espaces et Sociétés sur les Ambiances sonores (2003) et a co-écrit avec J-D. Polack et J. Beaumont en 2007 Le bruit des transports : état et perspectives scientifiques, Editions La Documentation Française. Expert pour l’OMS et l’AFSSET.
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Bruno Vincent est docteur en Psychologie de l’Environnement sonore et directeur d’Acoucité. Acoucité, est une association loi 1901 créée en 1996 à l’initiative du Grand Lyon et de ses membres fondateurs (centres publics techniques et de recherche). C’est un pôle de compétence sur l’environnement sonore urbain, qui a pour vocation de favoriser les échanges entre les centres de recherches et les besoins opérationnels des villes, notamment en matière de gestion des bruits urbains liés aux transports. Il regroupe à ce jour une dizaine de collectivités territoriales. L’association bénéficie en interne de moyens humains (ingénieur et techniciens en acoustique, docteur en psycho acoustique) et matériels propres (6 sonomètres intégrateurs, Système d’Information Géographique et de modélisation…).
Acoucité collabore à des programmes européens LIFE, pilotés par le Grand Lyon (GIpSyNOISE©, outil SIG conforme aux exigences de la D.E.) et anime un réseau de villes françaises et européennes partenaires du projet. A la suite de ce projet acoucité collabore à la réalisation des cartographies du bruit.
L’association développe avec la Mission Ecologie du Grand Lyon le réseau permanent de mesure et de suivi du bruit à l’échelle de l’agglomération (une trentaine de stations de mesure à l’horizon fin 2009).
Acoucité est aussi associée à des projets d’aménagements urbains en vue de maîtriser les niveaux de bruit et de valoriser le patrimoine sonore (halte Jean Macé, carré de soie…) et participe à des programmes PREDIT soutenus par les Ministères (impact des Plans de Déplacements Urbains sur le bruit…).
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Gérard Lefèvre est directeur du Syndicat Mixte d’Etudes de l’aéroport Notre-Dame-des-Landes depuis 2008. Auparavant, il travaillait à l’AURAN (Agence d’Urbanisme de l’Agglomération Nantaise).
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Pascal Amphoux est fondateur et directeur de CONTREPOINT, Projets urbains, Lausanne, bureau d’études et de projets architecturaux, urbains et/ou artistiques).Professeur à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Nantes (ENSAN).Auteur de nombreux ouvrages et publications scientifiques portant notamment sur les rapports entre la pratique du projet, l’esthétique paysagère et les méthodes des sciences sociales. Chercheur au Centre de Recherches sur l’Espace Sonore et l’Environnement Urbain (CRESSON, ENSAG, Grenoble, UMR CNRS). Membre du conseil scientifique EUROPAN Europe. Membre du conseil scientifique de la consultation internationale « Le grand pari de l’agglomération parisienne ». Expert auprès de diverses institutions suisses, françaises ou européennes.

Trois projets récents

– La frange, le bocage et l’urbanité, Stratégie de développement intercommunal dans la périphérie de Genève (Suisse), Mandat d’études parallèles, avec Tribu’ Architecture, Lausanne, 2006-2009
– Trait d’Unions, projet d’aménagement des espaces publics de couverture et de la promenade de la Ficelle, ligne de métro M2,  avec Ch. Hüsler arch.-paysagistes, Lausanne, 2005-2008
– Réhabilitation de la Chartreuse de la Valsainte, Déconstruction de 14 cellules, retraitement des jardins et des abords de la Chartreuse, 2005-2008
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– P. Amphoux et al. (éds.). Ambiances en débats, Grenoble : Editions A la Croisée, 2004, 312 p.
– P. Amphoux. « Aux écoutes de la fenêtre », Patrimoine et architecture, Office du patrimoine et des sites, Département des Constructions et Technologies de l’Information (DCTI), République et Canton de Genève, mai 2008, cahier no16, pp.8-13.
– P. Amphoux, « La notion de motif, un outil d’analyse et de projétation des rapports entre urbanisation et naturation dans les territoires suburbains ». In VilleV/S Nature ? Nyon : Les cahiers de l’ASPAN, no1, avril 2009, pp.12-15.
@font-face { font-family: « Cambria Math »; }@font-face { font-family: « Calibri »; }@font-face { font-family: « Trebuchet MS »; }p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; text-align: justify; font-size: 10pt; font-family: « Times New Roman », »serif »; }p.MsoNoSpacing, li.MsoNoSpacing, div.MsoNoSpacing { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 11pt; font-family: « Calibri », »sans-serif »; }.MsoChpDefault { }.MsoPapDefault { margin-bottom: 10pt; line-height: 115%; }div.WordSection1 { page: WordSection1; }
Trois distinctions
– Distinction 2009. Flâneur d’or 2008. Prix des aménagements piétons, ATE (Association Transports et Environnement), Mobilité Piétonne (Association suisse des piétons), OFROU (Office Fédéral des Routes), Berne
Pour la réalisation du projet « Trait d’Union », un kilomètre de promenades et d’espaces publics entre la gare et le lac à Lausanne. Equipe Hüsler-Amphoux
– Distinction 2008. Lapin d’or 2008. Goldener Hase. Prix de la meilleure réalisation suisse de l’année en architecture du paysage, Revue Hochparterre, Zürich
Pour la réalisation du projet d’aménagement paysager et de réhabilitation architecturale de la Chartreuse de la Valsainte, Cerniat, Suisse. Equipe Amphoux-Hüsler
– Distinction 2006. Médaille d’argent de la Formation, Fondation Académie d’Architecture, Paris

Pour l’articulation entre recherche et conception architecturale

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Nathalie Gourlot est géographe-urbaniste, spécialisée sur les questions environnementales. Diplômée du master d’Urbanisme de l’Institut d’Urbanisme de Paris (IUP – Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne), parcours Environnement, paysages et territoires, elle est chercheure au Lab’Urba (Institut d’Urbanisme de Paris – Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne) et au bureau de recherches Aménités. Ses activités impliquent les thèmes des ambiances et paysages (sonores) urbains, du bien-être et de la qualité de vie urbaine. Après un stage de six mois à l’Institut d’Aménagement et d’Urbanisme – Île de France, où elle réalisa une étude exploratoire sur les « zones calmes », elle a rédigé avec G. Faburel le guide et référentiel national sur les zones calmes à l’adresse des collectivités territoriales, pour le compte du ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement Durable et de la Mer (MEEDDM), en 2008.
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Actuellement, elle collabore notamment :
– au programme SASUPHII : évaluation d’études et travaux de recherche sur les nuisances, les ambiances et paysages sonores ; organisation de workshops et séminaires internationaux d’échanges entre acteurs et chercheurs ; mise en place de groupes de discussion habitants. Avec 7 autres laboratoires de recherche, financé par la mission Bruit du MEEDDM.
– au projet Eval-PDU, portant sur les effets du Plan de Déplacements Urbains de Nantes-Métropole en matière d’environnement (bruit, pollution atmosphérique…) et de qualité de vie (perceptions, pratiques, bien-être…). Elle a notamment en charge la réalisation d’une enquête sur les questions de qualité de vie et de bien-être auprès d’environ 1 300 nantais. Piloté par l’Institut de recherche en sciences et techniques de la Ville (IRSTV – Ecole Centrale de Nantes), en collaboration avec 6 autres instituts et laboratoires de recherche, sur financement de l’Agence Nationale de la Recherche (ANR).
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Didier Blanchard est @font-face { font-family: « Cambria Math »; }p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 10pt; font-family: « Times New Roman », »serif »; }p.MsoNoSpacing, li.MsoNoSpacing, div.MsoNoSpacing { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 10pt; font-family: « Times New Roman », »serif »; }.MsoChpDefault { }.MsoPapDefault { margin-bottom: 10pt; line-height: 115%; }div.WordSection1 { page: WordSection1; }gérant et fondateur de Synesthésie Acoustique depuis 1997. Expert au près du Tribunal de Grande Instance de Bordeaux en acoustique. Directeur de recherche pour l’appel d’offre « Construire avec les sons » pour le PUCA entre 2001 et 2005.
@font-face { font-family: « Cambria Math »; }p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 10pt; font-family: « Times New Roman », »serif »; }p.MsoNoSpacing, li.MsoNoSpacing, div.MsoNoSpacing { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 10pt; font-family: « Times New Roman », »serif »; }span.vert { }.MsoChpDefault { }.MsoPapDefault { margin-bottom: 10pt; line-height: 115%; }div.WordSection1 { page: WordSection1; }
Synesthésie Acoustique est Lauréat des Parkos d’Or 2003 pour la création d’observatoires de bruit, dans la catégorie Innovation Technologique.
@font-face { font-family: « Cambria Math »; }p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 10pt; font-family: « Times New Roman », »serif »; }p.MsoNoSpacing, li.MsoNoSpacing, div.MsoNoSpacing { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 10pt; font-family: « Times New Roman », »serif »; }.MsoChpDefault { }.MsoPapDefault { margin-bottom: 10pt; line-height: 115%; }div.WordSection1 { page: WordSection1; }
Références de projet de conception d’environnement sonore :
– LOGEVIE/Communauté Urbaine de Bordeaux/Ville d’Ambares&Lagrave – Création d’un environnement sonore pour un ECO QUARTIER – Ambares & Lagrave (33) – En cours d’étude
– Création d’un environnement sonore pour un jardin paysager avec l’atelier CEPAGE – Antony (92) – En cours d’étude – VILLE D’ANTONY
– Conception d’un environnement sonore pour un le nouveau quartier  Peyrouat – Mont de Marsan (40) – En cours de consultation d’architecture – VILLE DE MONT DE MARSAN
– Conception d’un environnement sonore pour un centre commercial – Prix de l’ECOQUARTIER 2009 – Grenoble (38) – En cours de livraison – CASERNE DE BONNE
– Création d’une identité sonore pour 12 parcs automobiles – Bordeaux (33) – Depuis Février 2009 – PARCUB
– PUCA – Appel d’offre de recherche « Construire avec les sons » – Paris (75) – 2001/200
@font-face { font-family: « Cambria Math »; }@font-face { font-family: « Verdana »; }p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 10pt; font-family: « Times New Roman », »serif »; }p.MsoNoSpacing, li.MsoNoSpacing, div.MsoNoSpacing { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 10pt; font-family: « Times New Roman », »serif »; }.MsoChpDefault { }.MsoPapDefault { margin-bottom: 10pt; line-height: 115%; }div.WordSection1 { page: WordSection1; }
Bibliographie :
Sonore & Urbanité : éd. Overworld / Bordeaux 2009
Le confort sonore : Plan Urbanisme Construction Architecture – Les programmes finalisés
– Rencontre Architecture et Musique : Actes du colloque, éd. Château des Forges / Pesmes 1993 (Pages 26-27)
– Saison musicale 96/97 :Programme, éd. I.R.C.A.M. / Paris 1997
Musique et Arts-Plastiques interaction au XXe siècle : Jean-Yves Bosseur, éd. Minerve, Collection Musique Ouverte / La Flèche 1998 (Pages 278-279)
Kunst Unter Tage : Catalogue d’exposition, éd. Europa / Saarbrücken 1998. _________________________________________________________________________________________________________________ 

@font-face { font-family: « Cambria Math »; }@font-face { font-family: « Calibri »; }p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal { margin: 0cm 0cm 10pt; line-height: 115%; font-size: 11pt; font-family: « Calibri », »sans-serif »; }p.MsoNoSpacing, li.MsoNoSpacing, div.MsoNoSpacing { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 11pt; font-family: « Calibri », »sans-serif »; }.MsoChpDefault { }.MsoPapDefault { margin-bottom: 10pt; line-height: 115%; }div.WordSection1 { page: WordSection1; }@font-face { font-family: « Cambria Math »; }@font-face { font-family: « Calibri »; }p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal { margin: 0cm 0cm 10pt; line-height: 115%; font-size: 11pt; font-family: « Calibri », »sans-serif »; }p.MsoNoSpacing, li.MsoNoSpacing, div.MsoNoSpacing { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 11pt; font-family: « Calibri », »sans-serif »; }.MsoChpDefault { }.MsoPapDefault { margin-bottom: 10pt; line-height: 115%; }div.WordSection1 { page: WordSection1; }
Claire Guiu, géographe  est Maître de conférences à l’Université de Nantes. Elle est membre de Ciudad Sonora. Projet de recherche « Acoustiques de la croissance urbaine de Barcelone » (2006-2009), Institut Catalan d’Anthropologie, Institut de Patrimoine Ethnologique de la Catalogne, Orquestra del Caos.
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Publications :
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– GUIU, Claire, 2009, Naissance d’une autre Catalogne. Territoires et traditions dans les Terres de l’Ebre, 2009, Comité des Travaux Historiques et Scientifiques (CTHS), collection géographie, Paris.
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– GUIU Claire, 2009, « Les géographies sonores : rythmes et contrepoints » et « Géographie et musiques : orientation et sélection bibliographique », dans Y. Raibaud, 2009, Comment la musique vient-elle au territoire ?, MSHA, Bordeaux, pp. 29-58 et pp. 293-309.
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– GUIU Claire, 2009, « Ritual revitalization and the Construction of Places in Catalonia, Spain », Journal of Mediterranean Studies, numéro spécial dirigé par L-S. Fournier, vol. 18.1, pp. 93-118.
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– FOURNIER L-S. (dir.), MICHONOVA R., LLATY C., GUIU C., GUYARD S., TUAL-MICHELI L., 2008, « La place des salariés agricoles dans les fêtes agraires », Rapport de recherche, Université de Nantes, Centre Nantais de Sociologie (CENS), Institut de Recherche sur la Salariés Agricoles (IRESA), 2 volumes (230 p. + annexes).
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– ALONSO M., GARCÍA N., GUIU C., JOAN A., SÁNCHEZ I., 2009, « Acoustiques de la croissance urbaine. L’expression sonore des transformations urbaines de Barcelone », Rapport de recherche (2006-2008), IPEC.
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– GUIU C. (coord.), 2009, « Le Monde en musiques », La GéoGraphie (revue de vulgarisation), octobre-décembre 2009, nº6.
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– GUIU C., 2008, « Fer-se escoltar. La jota com a vector de mobilització i de reivindicació », Caramella, (revue de vulgarisation), Reus, Juillet 2008, pp. 37-40.
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– GUIU Claire, 2007, « Pratiques folkloriques dans les Terres de l’Ebre : représentations et mises en scène de la ruralité », Norois, numéro dirigé par V. Jousseaume et O. David, n° 204, pp. 39-52.
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– GUIU Claire, 2007, « Le rôle des fêtes à caractère patrimonial dans la recomposition symbolique des territoires : le cas de la ville de Tortosa », dans L. Viala et S. Villepontoux (dir.), Imaginaire, Territoires et Sociétés. Contribution à un déploiement transdisciplinaire de la géographie sociale, Editions de l’Université Paul Valéry, Montpellier, pp. 217-230.
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– GUIU Claire, 2007 « L’identité territoriale mise en scène : une histoire des processus de folklorisation en Catalogne méridionale », dans R. Le Couadic (dir.), Identités et sociétés, de Plougastel à Okinawa, Presses Universitaires de Rennes, pp. 185-202.
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– GUIU Claire (dir.), 2006, « Géographies et musiques : quelles perspectives ? », numéro spécial, Géographie et Cultures, n° 59, automne 2006.
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– GUIU Claire, 2006, « Géographie et musiques : état des lieux », Géographie et cultures, n°59, pp. 7-27.
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– PÉQUIGNOT Stéphane et GUIU Claire, 2006, « Historiographie catalane, histoire vive. À propos de quelques ouvrages récents », Mélanges de la Casa de Velázquez. Nouvelle série, 36 (1), pp. 285-306.
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– GUIU Claire, 2006, « La jota dans les Terres de l’Ebre : une pratique territorialisée et territorialisante », Géographie et cultures, n° 56, pp. 91-110.
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Philippe Woloszyn est architecte DPLG, DESS acoustique, et Docteur en sciences de l’ingénieur option architecture. Médaillé de bronze CNRS en 2003. Il travaille au laboratoire rennais de recherche sur l’espace géographique et les sociétés de l’Université Rennes 2.

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