Exposition « Corps sonores »


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Exposition du 07 février 2020 au 14 février 2020 et vernissage le 6 février à 18h.
(entrée libre)

Deuxième exposition du studio gémellaire ou GMLR (rapprochement des
ateliers de création sonore d’ARTS² à Mons et de l’ESÄ-NPdC à Tourcoing).

Un son nait, se déplace dans l’air et finit par disparaitre. Dans ce laps de temps, c’est la place de l’homme qui nous intéresse : émetteur ?
récepteur ? transmetteur ? relai poétique et/ou politique ? Nous avançons une hypothèse polysémique : nous sommes des corps sonores. C’est en
cette qualité que les élèves interrogent les conditions d’apparition et de propagation du son. Leurs propositions explorent le fait sonore sous
plusieurs angles – psycho-acoustique, social ou spéculatif – dans un large spectre de pratiques : de l’installation à la performance, du documentaire à la fiction, en passant par des formes hybrides et intermédia.

Ce projet est soutenu par Transcultures, Centre des cultures numériques et
sonores et par les Pépinières européennes de création.
Coordination : Julien Poidevin et Silvain Vanot.

Les Anciens Abattoirs De Mons
Pépinières européennes
Transcultures – Media Arts Center

Exposition sonore


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Le Studio Gémellaire (GMLR) est né du rapprochement de deux ateliers de création sonore : celui d’ARTS 2 à Mons en Belgique et celui de l’ESÄ-Tourcoing en France. Pendant deux semaines, douze étudiants ont travaillé ensemble à la préparation d’une exposition collective. La présentation de
ces travaux a lieu à la galerie commune de l’ESÄ-Tourcoing du 1 er février (vernissage) au 8 février 2019. Cette première édition du GMLR intitulée « D’où parle-t-on ? » est consacrée à la parole, à ses origines physiologiques, culturelles, sociales et/ou géographiques. Ce projet est soutenu par
Transcultures, Centre des cultures numériques et sonores et les Pépinières Européennes de création.


Coordination : Julien Poidevin et Silvain Vanot.

Vernissage le 1er février 2019 — Galerie Commune — Tourcoing

 

Workshop Paysage sonore à Mons


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Gilles Malatray – Workshop Paysage sonore/soundscape

Mons  Faculté d’architecture & Urbanisme (UMons)

Depuis bien longtemps déjà, des artistes et philosophes, marchent à travers ville et campagne, jusqu’à en faire une véritable façon d’être, de penser, de créer. Les années 70/80 ont vu naître les « Soundwalks », ou balades sonores, convoquant de nouvelles lectures et écritures sensibles du paysage, où esthétique et écologie dialoguent régulièrement de concert, au gré des déambulations. C’est donc à partir ces histoires et  de leurs  protagonistes que Gilles Malatray (desartsonnants/complice régulier de City Sonic) développe une démarche  spécifique expérimentée dans la ville de Mons. Il met en avant les rapports étroits entre écoute, art, environnement, urbanisme et l’architecture. Les étudiants-participants deviennent alors « promeneurs écoutant » (Michel Chion) posant  une écoute critique, notamment sur la ville, où le geste artistique s’adresse à tous ceux qui, habitants, politiques ou aménageurs, restent soucieux de préserver, voire de développer, une belle écoute au quotidien.

For a long time now artists and philosophers have been walking through the city and the countryside, making it a true way of being, thinking and creating. The 70s and 80s saw the birth of « soundwalks », or soundtracks, using new readings and sensitive writings of the landscape, where aesthetics and ecology regularly dialogue in concert, according to the wanderings. It is therefore from these stories and their protagonists that Gilles Malatray (desartssonnants/regular guest of festival City Sonic) will develop a specific approach experienced in the city of Mons. He will highlight the close relations between listening, art, environment, urbanism and architecture. The participating students will then become « listening walkers » (as described by Michel Chion), a critical listening, especially  of the city, where the artistic gesture is addressed to all those who, inhabitants, politicians or developers, remain anxious to preserve, to develop, a beautiful daily listening.

CITY SONIC 2016, SONIC PIRATES, DEMANDEZ LE PROGRAMME !


POUR (PRESQUE) TOUS SAVOIR SUR LES ARTS SONORES

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L’incontournable festival international des arts sonores, City Sonic, organisé par Transcultures, et installé depuis 14 ans à Mons, dévoile l’intégralité de sa programmation.

http://citysonic.be/festival2016/

Il se veut cette année un brin Sonic Pirates, à l’abordage de nouvelles iles et terres et ondes sonores

Parcours, émergences, installations,  concerts, ateliers, rencontres, balades… Il y en a, comme chaque année, pour toutes les oreilles.

L’équipe de Transcultures et du festival, dont votre humble serviteur pour la Sonic Radio, avec Zoé Tabourdiot et YouFM, se met en quatre pour combler les oreilles des grands et des petits.

Notons que Desartsonnants, alias Gilles Malatray, vous invite à une un PAS – Parcours audio Sensible en nocturne spécial City Sonic.

http://citysonic.be/festival2016/15-septembre-parcours-audiosensible/

Nous vous y attendons de pieds et d’oreilles fermes !

FESTIVAL ARTS SONORES CITY SONIC 2016


COMMUNIQUÉ DE PRESSE CITY SONIC 2016

 

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Transcultures présente

City Sonic#14

Sonic Pirates

Festival international des arts sonores

Mons 14 >25.09.2016

Après une édition augmentée et remarquée dans la cadre de Mons2015, Capitale européenne de la culture, City Sonic initié en 2003 par Transcultures, Centre des cultures numériques et sonores, revient à ses bases corsaires et défricheuses avec une programmation orientée majoritairement jeunes artistes sur quatre lieux principaux au centre ville : le site des Anciens Abattoirs avec, dans la Grande Halle, une exposition audio plastique consacrée aux travaux des post diplômes de l’Ecole d’Art de Bourges, le Carré des Arts en complicité avec l’Ecole des Arts Visuels Arts2 avec laquelle Transcultures organise des workshops et rencontres autour des arts sonores et numériques à l’année, la Maison du Design, la Galerie du Centre où une dizaine de magasins délaissés seront ravivés par des implantations d’artistes indisciplinaires (Natalia de Mello, Cédric Sabato, Benoît Armange…), avec des partenariats belges et étrangers (l’Atelier de Création Sonore Radiophonique, Vidéoformes/Clermont-Ferrand, le Centre de production musicale Césaré/Reims…).

City Sonic propose également, en parallèle de l’itinéraire d’installations, des performances inédites lors de la soirée d’ouverture le 14 septembre, avec un live de l’artiste multimédia espagnole Alba G. Corral et du compositeur polonais Dariusz Makaruk ou encore avec la Sonic Garden Party (dans des jardins privés ouverts exceptionnellement au public un dimanche après-midi avec des performances/concerts créés ce cadre conviviale et bucolique), des ateliers Sonic Kids (initiation pour les plus jeunes aux vertus des textiles connectés, de la lutherie numérique et de l’impro sonique), des conférences (dont celle de l’essayiste français Alexandre Castant), une radio live dédiée avec des interviews, playlists, reportages, pièces sonores… (la Sonic Radio sur le site citysonic.be et en décrochage hertzien sur YouFM), des surprenantes promenades d’écoute urbaine (dont un PAS/Parcours Audio Sensible en soirée mené par le paysagiste sonore Gilles Malatray)…ces différents éveils à l’écoute créative sont l’essence même de cette « manifestason » singulière qui résiste obstinément aux autoroutes culturelles balisées.

A noter que City Sonic sera aussi présent à Bruxelles avec une grande soirée à la Raffinerie, OMFI/One Moment Free Improv (concerts transgenres, petit salon des producteurs audio indépendants et sélection de vidéos soniques le 30 septembre) et un City Sonic Mix introduction quinze ans de création multi audio made in City Sonic par Paradise Now au Centre culturel Jacques Franck le 21 septembre. Autant d’invitation à des découvertes sonic pirates !!

Artistes City Sonic 2016 :

11:60 (Be), Nicolas d’Alessandro (Be), Rodolphe Alexis (Fr), Marine Angé (Fr), Benoit Armange (Be), Dimitri Baheux (Be), Johana Beaussart (Fr), Isa Belle (Be/Fr), Sébastien Biset (Be), Alexandra Brillant (Fr), Charo Calvo (Es), Alexandre Castant (Fr), Philippe Cavaleri (Be), DJ Chosta (Be), Louis Chrétiennot (FR), Alba G. Corral (Es), Régis Cotentin (Fr), Marion Cros (Fr), Cécile Damien (Be), Natalia De Mello (Be), Helga Dejaeger (Be), Janick Deneux (Fr), Simon Deterne (Fr), Sebastian Dicenaire (Be/Fr), Jean-François Fontaine (Be), Catherine Graindorge (Be),  Les Granules (Be), Julien Grosjean (Fr), Margarida Guia (Be/Fr), Ruben D’Hers (De), Nicolas Adrien Houtteman (Be), Eloïse Lega (Be), Lucas Lelièvre (Fr), Dariusz Makaruk (Po), Gilles Malatray (Fr), Julie Michel (Fr), Gaël Moissonnier (Fr), Aurélia Nardin (Fr), Julien Pauthier (Fr), Sandra Przyczynski (Be/Fr), Quelque Piéton (Be), Anna Raimondo (It); Léa Roger (Be/Fr), Morgane Roumegoux (Fr), Cédric Sabato (Be/Fr), Emmanuel Selva (Be/Fr), Sophie Stassin (Be), Maxence Tambosco (Be/Fr),  Zoé Tabourdiot (Fr/Be),Victor Tsaconas (Fr), Eric Therer/& Stuff (Be), Constantin Van Craeynest ( Be), Julien Vadet (Fr), Timo Van Luijk (Be), Vidéoformes (Fr), Benoit Villemont (Fr), Ditterich von Euler-Donnersperg (De), Elsa Welfelé (Fr), Claire Williams (Be/Fr), Arthur Zerktouni (Fr), Ze Zorgs (Be)

 

> EVENEMENTS

Mons

14.09.2016

Soirée d’ouverture City Sonic#14

Après une visite guidée du parcours sonore de cette édition par son directeur artistique Philippe Franck (en présence des artistes), plusieurs courtes performances sonores d’artistes ayant fait le post diplôme l’ENSA Bourges (Arthur Zerktouni + Yanick Deneux – set hip hop abstrait, Julien Grosjean, Elsa Welfelè, Simon Deterne, Julie Michel, Johana Beaussart dans leurs dispositifs audio plastiques….) suivi par Dimension N, création AV live de Arba G. Corral (artiste graphique/numérique de Barcelone) + Dariusz Makaruk (compositeur de musique contemporaine ouverte et électronique de Varsovie) qui a remporté le prix du jury du festival Bains Numériques – Site des anciens abattoirs (Frigo)

+ City Sonic Party au Bateau Ivre (alter djs à préciser) à partir de 23.00 (entrée libre)

18.09

Sonic Garden Party

Concerts intimes et courts dans des jardins privés du jardin du Beffroi (ouverts par leurs propriétaires pour l’occasion) et du centre historique montois avec Catherine Graindorge (violon et chant lancinant), l’improvisateur belge arte povera Timo Van Luyck en duo inédit avec une figure de la musique industrielle et expérimentale allemande Ditterich von Euler-Donnersperg, Sébastien Biset (instruments insolites) + City Sonic drink offert !

Rendez-vous devant la chapelle, rue des Telliers – 15h

23.09

Sonic Live Gallery

Une après-midi sonic pirate pendant laquelle des artistes d’horizons différents se mêlent aux badauds pour envahir plusieurs magasins de la Galerie du Centre de Mons : danse/traitements sonores (Benoît Armange + Jean-François Fontaine), arts numériques/musique électro-acoustique (Dimitri Baheux + duo Les Granules), Philippe Cavalieri (mix de vinyles en colle), & Stuff (poésie surréelle et décapante d’Eric Therer sur des atmosphères électro-guitaristique de Paradise Now) + DJ Chosta (mix de musiques classiques contemporaines), Quelque Piéton (mix hybride groovy et différencié)…

Galerie du Centre – entrée rue des Capucins ou Grand Rue, Mons, 15h (entrée libre)

25.09

Bye Bye Monsonic (événement de clôture)

Après une dernière visite guidée, la clôture de City Sonic@Mons, une scène de concerts attend les curieux et les participants du festival dans un cadre bucolique, avec des créations live, entre autres, de 10:60 (Christophe Bailleau + Didié Nietzche, paysages électro cosmiques), Ze Zorgs (Maurice Charles JJ au saxo, Pierre-Jean Vranken à la guitare électriqe, Stéphane Fedele à la batterie, set post jazz no wave), Isa Belle + Paradise Now (vibrations sensorielles),…+ City Sonic Sunday drink

Résidence Transcultures, 10 rue Terre du Prince, Mons – 16>18.00 (entrée libre)

 

Bruxelles

21.09

Paradise Now – City Sonic Mix

Un mix réalisé en direct de pièces variées (paysages électro, soundscapes, poésie sonore, field recordings…) made in City Sonic depuis sa création jusqu’à aujourd’hui + discussion avec le public

Centre Culturel Jacques Franck, 94 Chaussée de Waterloo, Saint-Gilles – 20.00 (entrée libre)

30.09

OMFI@City Sonic 2016

OMFI/One Moment Free Improvisation célèbre les musiques exploratrices et vivantes d’aujourd’hui, dans leur création en direct. Concerts (créations) de Razen (groupe de multi instrumentistes flamands sur le label Kraak, entre folk expérimental et musique contemporaine libre, Radio Prague (la rencontre entre des pionniers wallons de la musique expérimentale et une flutiste improvisatrice), Isa Belle + Paradise Now (conjugaison des bols tibétains/gongs avec impro de saxophone sopranino, guitare, soundscapes et voix célestes), Matthieu Safatly + Björn Jaus saka zen.ze (violoncelle voyageur versus électro/feed back par l’inventeur du gonzophone – Be) + sélection vidéos City Sonic + petit salon de producteurs audio indépendants + alter djs…

La Raffinerie, 21 rue de Manchester, Molenbeek – 18.00 (5€)

 

> Ateliers + Conférences

Ateliers Sonic Kids

Initiations ludiques (par des artistes/animateurs proches de City Sonic) à diverses pratiques sonores pour les enfants

21.09

Claire Williams (artiste numérique – Be/FR), autour des vêtements connectés et sonorisés,

Galerie du Centre – 14>16.00 – participation gratuite

24.09

Léo Roger (harpiste – Fr/Be) autour de l’improvisation avec des instruments insolites construits par les enfants

Nicolas d’Alessandro (muscien/chercheur – Be) avec le Do it yourself Orchestra, pratique collective de la lutherie numérique

Galerie du Centre – 10>18.00 – participation gratuite

16.09 – 14h-16h

Parcours City Sonic 15>25 septembre 2016

12h-18h, entrée libre, fermé le lundi

Soirée d’ouverture + visite guidée

24 septembre – Départ à 18h00

Rendez-vous Galerie du Centre, entrée Grand Rue, Mons (centre ville)

Accueil par les artistes sur les lieux du parcours sonore et présentation par le directeur artistique Philippe Franck

+ performance audio-visuelle Dimension N (première belge) de Alba G. Corral + Dariusz Makaruk – Frigo (Site des anciens abattoirs) + performances d’artistes proposés par l’ENSA Bourges

+ City Sonic Party au Bateau Ivre – Grand’Place

 

Dossier de presse, visuels et entretiens avec le directeur artistique ou les artistes sur demande.

Production: Transcultures avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles (pluridisciplinaire) et de la Wallonie (tourisme), en partenariat avec la Ville de Mons, ENSA Bourges, Arts2

Contact Presse Transcultures/City Sonic > Maxime Figula

communication.transcultures@gmail.com +32(0)498 43 37 77

www.citysonic.be (site d’accueil en ligne et site complet en ligne à la mi-août)

 

Appel à projets + résidence MAP – Pépinières européennes pour jeunes artistes 2016 Mons


APPEL À PROJETS ARTS SONORES

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Dans le cadre du programme MAP (mis en œuvre par les Pépinières européennes pour jeunes artistes), Transcultures, Centre interdisciplinaire pour les cultures numériques et sonores, associé avec la Ville de Mons (Belgique) et avec le soutien du Ministère de la Culture de la Fédération Wallonie-Bruxelles, lance un appel à résidence de création de 3 mois pour développer un nouveau projet (installation, performance ou autre dispositif) dans le domaine des arts sonores (avec une attention toute particulière pour les projets technologie/recherche/science/innovation).

La résidence se déroulera de fin juin à mi-septembre 2016 à Mons et donnera lieu à la présentation du projet dans le cadre du festival international des arts sonores City Sonic (15 > 25.09.2016).

Deadline : L’appel à candidatures pour cette résidence est ouvert jusqu’au 29 mai 2016 inclus.

 

Qui peut participer ?

Le programme MAP, dans lequel s’inscrit cette résidence, s’adresse à de jeunes artistes émergents issus de tous domaines d’expression, résidant dans l’un des pays de l’Union européenne (à l’exception de la Belgique).

 

Comment participer ?

Procédure de dépôt des candidatures en 2 étapes

  1. S’inscrire et déposer son projet en ligne sur le site emobility.pro des Pépinières européennes pour jeunes artistes  – consulter la procédure ici
    Les candidatures devront impérativement être enregistrées sur la plateforme e.mobility avant le 29 mai 2016 à minuit (heure de Paris) pour être valides.En cas de problème technique, merci d’écrire à pepinieres@art4eu.net avant cette date.
  2. Une fois le formulaire d’inscription rempli, envoyer un double de votre dossier complet à Jacques Urbanska (Chargé projets arts numériques Transcultures) – urbanskaj@hotmail.com (objet du mail : Résidences MAP 2016)

Si vous avez le moindre doute n’hésitez pas à envoyer un mail à Jacques Urbanska.

Structure du dossier à envoyer par email (format texte ou pdf en un seul ou plusieurs fichiers)

  • un texte présentant votre démarche artistique
  • un texte détaillant votre motivation pour cette résidence à Mons chez Transcultures
  • une présentation du projet
  • une fiche technique prévisionnelle
  • un CV récent
  • quelques documents significatifs pour illustrer votre démarche : liens images (Flickr ou autres), liens audio (Soundcloud ou autres), liens vidéo (Vimeo ou autres).

Ces documents doivent être rédigés en français ou en anglais.

Un jury composé de professionnels de l’art contemporain et de partenaires locaux sélectionnera le projet lauréat à Mons en juin 2016. Le résultat sera directement annoncé aux candidats, et publié sur les sites web des Pépinières européennes pour jeunes artistes et de Transcultures.

 

A propos de la résidence

Le projet, de qualité devra pouvoir être développé sur le territoire local (et comportera au moins une action de sensibilisation avec des partenaires locaux) en bonne entente avec Transcultures et ses partenaires. Une attention toute particulière sera apportée aux projets liés à des enjeux sociétaux contemporains et/ou innovants.

Cette résidence de création bénéficiera d’une bourse forfaitaire d’aide à la création au projet (conçu par un ou plusieurs artistes) et au séjour mensuelle (1250 euros par mois soit 3750 euros maximum au total par résidence) et d’un logement dans une résidence au centre de Mons (proche des bureaux de Transcultures), ainsi que d’un suivi artistique et technique, d’une mise à disposition de matériel et d’une aide à la communication.

 

A propos du programme MAP

À l’écoute des mouvements de la scène artistique actuelle, le programme MAP s’adresse aux créateurs émergents issus de toutes disciplines qui explorent de nouvelles pratiques au croisement des champs d’expression. Destiné à accompagner les jeunes artistes et acteurs des métiers de la création et de la culture dans leur parcours de professionnalisation, le programme favorise une ouverture féconde sur les différentes formes de création, la multiplicité des expériences, le croisement des champs artistiques et l’enrichissement mutuel.

 

A propos des Pépinières européennes pour jeunes artistes

Les Pépinières européennes pour jeunes artistes accompagnent, depuis de nombreuses années, les jeunes créateurs qui développent de nouvelles formes d’expression en favorisant leur mobilité sur la scène artistique européenne au sein d’un réseau établi actuellement dans 31 pays.

CONFÉRENCE – SOUNDWALKING, L’OREILLE EN MARCHE


25.02
Conférence cycle Territoires augmentés
Gilles Malatray Soundwalking, l’oreille en marche

MONS >Faculté d’Architecture>12.00

Depuis bien longtemps déjà, d’Aristote à Guy Debord, en passant par Rousseau, Thoreau et Richard Long, des artistes et philosophes, marchent à travers ville et campagne, jusqu’à en faire une véritable façon d’être, de penser, de créer. Les années 70/80 ont vu naître les soundwalks, ou balades sonores, convoquant de nouvelles lectures et écritures sensibles du paysage, où esthétique et écologie dialoguent régulièrement de concert, au gré des déambulations. C’est donc à partir de cette histoire, de ses protagonistes et de ses formes de créations spécifiques, que Gilles Malatray (musicien et paysagiste de formation, animateur du blog de référence desartsonnants), met en avant les rapports étroits entre écoute, art, environnement, urbanisme, architecture…L’artiste promeneur écoutant* pose une écoute critique, notamment sur la ville, où le geste artistique s’adresse à tous ceux qui, habitants, politiques ou aménageurs, restent soucieux de préserver, voire de développer, une belle écoute au quotidien.

For a long time already, from Aristotle to Guy Debord, through Rousseau,Thoreau and Richard Long, artists and philosophers, walk through cities and countries to make a real way of being, thinking and creating. The years 70/80 saw the birth of the sound walks, summoning new readings and writings, which were sensitive to landscape, where aesthetics and ecology interact together regularly, according to the wanderings. From this hisotry and  and its specific forms of creations, Gilles Malatray (musician and specialist of the landscape, initator of the blog desartsonnants), highlights the close relationship between listening, art, environment, urban planning, architecture … The ‘listening walker’-artist  poses a  critical listening to the city, where the artistic gesture is for all those people, keen to preserve and develop a nice listening everyday.

L’ART DES K7 – HAROLD SCHELLINX ET SA BANDE


Harold Schellinx – cassettophile et cassetteur (interview)

 La bande des bandes (magnétiques)

Dégoteur de bandes magnétiques esseulées, remonteur de cassettes audio écrasées, stockeur de souvenirs jetés: ainsi va le paradigme sémantique du Foundtaping, acte de récup’ qui va sans doute émoustiller votre nostalgie de la mécanique bancale. Un des grands maîtres en matière de trouvailles phonographiques se nomme Harold Schellinx.

Au gré de ses vagabondages, depuis 2002 ce «cassettophile» et «cassetteur» néerlandais ramasse des bouts de bandes magnétiques abandonnées dans la rue, sur les parkings, les bords d’autoroutes et autres recoins urbains.Une fois le gibier analogique entre ses mains, il le ressuscite : démêlage de l’imbroglio de bandes, rembobinage dans une nouvelle cassette, écoute, sélection de fragments sonores numérisés puis collectés dans son exposition virtuelle.

Messages de répondeurs téléphoniques, récitations du Coran, patchwork musical, conférences, conversations privées… Texturé «noisy», craquelé, troué, ce médium organique, même en voie de décomposition, reprend goût à la vie entre les doigts avertis d’Harold, lequel passe un temps démentiel à dénouer les morceaux de bandes entortillées. Le monde précieux du souvenir analogique est enfin réhabilité et retentit a fortiori en mode déformé…

(Agnès Aokky, Rue 89 – mai 2008)

Présent dans l’exposition Cassette Art, Harold Schellinx officiera également en chair et en os en compagnie d’autres artistes à l’événement de clôture de City Sonic le dimanche 27 septembre composé de concerts et improvisations nomades au centre ville de Mons.

 

Interview

What attracted you in the handling of the cassette and the dictaphone? 

Starting from the late 1970s, early 1980s, for several decades I used cassette dictaphones along with small lapel microphones to record what I call my ‘chronique sonore’: an ‘audio documententation’, of a very lo-fi and sketchy kind, of many of my daily routines; at home, in the metro, in the train, on the beach, in the restaurant… bref, everywhere.

I continued to do this ‘audio journal recording’ also during the ten, fifteen years (1984-1999) that I kept far from any ‘sounding music’ making (maybe -maybe- because I needed to recover from something like a ‘music allergy’, caused by over-exposure), tried to only make ‘music without sound’.

When, with the turn of the century, I found that this idea was an ‘idée fixe’, really just a ‘mirage’, an illusion, and I decided to return to ‘sounding music’ making, it felt logical, and maybe even necessary, to do so NOT with the usual instruments, but by delving into this vast ‘cassette archive’ (rather more of a ‘dump’, actually) that I had gathered, with near to thirty years of ‘audio memories’.

That’s how around 1999 I started to compose short pieces (in the beginning still on a TEAC 4-track analog tape machine), exclusively using material from my ‘personal audio archive’ ( https://soundblog.bandcamp.com/album/sound-chronicles ). For me, this felt like some ultimate form of pop music: making up stories that are built from the day-to-day sounds of your own life :-)

Not much later I began to do something similar in live settings, mostly in Paris. At first by (solo) executing quite elaborate and pretty detailed scripts, using a whole battery of cassette machines to mix longish ‘audio stories’.

It was in the course of these live performance settings that gradually (along with several of my friends and colleagues) I uncovered the quite peculiar potential of, especially, handheld dictaphones not merely as playback machines, but as electro-acoustic instruments. However farfetched it may sound, as Emmanuel Rébus likes to say: « A dictaphone is very much like a trumpet; both of them have three buttons! »

What I find attractive about the ‘dictaphone-as-instrument’ approach:

1° – it allows for a very mechanical, very physical manipulation

2° – it is very limited in its possibilities, but that’s of course a blessing for all who think – like me -that limitation is always a strength

3° – It is impossible to gain perfect control; the little machine continues to show some sort of a will of its own

4° – sooner or later all the world’s dictaphones will break down, and become beyond repair; I love this ephemerality, using things that are sure to disappear :-)

How do you integrate this medium in your compositions?

There are two important aspects to this:

1° – a narrative one – this of course depends on what is actually recorded onto the cassette that one uses; I once estimated that in the 50 years of its existence, about 8.55 billion kilometers of cassette tape has been recorded onto; pretty much all the sound of the world can (or could) be found on cassette (it is the – Dutch – title of a small booklet that I wrote on the Found Tapes Exhibition: « Alle Geluid van de Wereld »);

2° – the sonic one – this is what the ‘dictaphone-as-instrument’ is about; important elements are also the typical lo-fi texture of the cassette sound, the noise, the gradual disintegration of the sound and its quality; what is on you cassettes is, in a way, alive: a cassette that one uses regularly in performances never sounds the same twice… (OK, good slogan this one; let’s keep it: « K7’s never sound the same twice! »)

Though I cannot promise you that it will ever be finished, let alone published: I am also writing a book called ‘The Art of the K7’ (referring, very blasphemously to Bach’s ‘Art of the Fugue :-) …) that – apart from a lot of K7 stories, K7 facts and K7 history (NOT ‘cassette culture’ history though; that history has been written already) will see an exhaustive description and index of all the possible different performing techniques using cassette players and dictaphones, each one with an exemplary, generic, score for a piece based on that technique.

Among the non-standard techniques, let me mention my ‘Sudoku’ technique (https://soundcloud.com/soundblog2/harold-schellinx-k7-sudoku-solution-disquiet0139-techtechnique ).  It is a way to apply something very much like a ‘serialist’ form of composing/playing to the dictaphone. It can, however, only be used with certain models of a dictaphone. And much to my regret, the one that I used for Sudoku playing (a Sony TCM 500DV) broke down, and I haven’t been able to replace it yet …

(A prelude to The Art of the K7 is on harsmedia.com)

Lang Leve Lou Ottens!

You have often collaborated with other cassette artists (Emmanuel Rebus or recently Anton Mobin for example)… what brings you these cross improvisations?

Ha, ha! It is so great to be in a band! All the touring, the sex, the drugs, the rock-n-roll… But, seriously, in the past ten years it has turned out that group live improvisation is one of my major musical destinies. Not so much as a choice, but as something that I experience happening. And it is so great to spend musical and sonic time with friends that are also fabulous musicians and theoreticians like Anton Mobin, like Emmanuel Rébus; not to forget the many others, like Jean Bordé, Rinus van Alebeek, Maurice Charles JJ, Peter Mertens, Antony Carcone, Jacques Foschia… ; the hours spent making music together with these guys continue to be among my best living hours, without a shadow of a doubt.

Apart from that, yes, I do have quite particular thoughts on the ‘genre’, but that again would ask for something much like a book. Basically, of course, it is what one calls EAI (electro-acoustic improvisation). Rébus and I wrote about that in our academic paper ‘Electroacoustic improvisation as metalanguage and fixed point’ (part I appeared, in a Hungarian monograph;  the sequel and second part will be in Korean). I do have some pretty non-standard ideas on this, which center specifically on our practice as being a highly non-academic one, and rather close in spirit to a kind of neo-folk music. I am kind of allergic to the designation ‘experimental’. Though there are, of course, some historical reasons for that name), I rather like to call what we do ‘speculative music’.

With Rébus I organize an ongoing series of ‘speculative musical events’ that we call ‘unPublic‘ (because they are always without audience), and which recently reached its 20th edition. Until now ‘unPublic’ included contributions from near to 40 artists and musicians from all over the world. This ‘unPublic’ gradually is becoming a quite central illustration of our musical philosophy and politics, as well as a ‘sounding summary and history’ of our diverse activities.

You started several years the series « Found Tapes ». What attracts you in this process-research?

I started collecting tape trash and the ‘Found Tapes’ series in 2002. So that is 13 years ago… And much of it originally was motivated by simple curiosity: when I saw a clod or a string of this brownish cassette tape floating around, I was just very curious to know what would be on it. And contrary to photographs: it is impossible to see the sound. You will have to pick it up, unravel it, and make it playable again.

What then is so utterly fascinating, apart from the ‘degraded sound’ and ‘natural glitch’ that I like a lot, is the wide range of different things that appear to be on these ‘trashed tapes’. Lots of music of course; but also music that seemed to be very much related to the demography of the places were it was found; it turned the collecting into kind of a personalized socio graphic study :-) because also, apart from the music: I found amazing recorded telephone conversations, religious sermons, instructions for this or for that, stories, personal tales that are almost ready-made scripts for detective stories; and beautiful spoken letters, like the one that I will use during the OMFI Parcours at City Sonic, which is a spoken diary annex love letter that a Greek girl sent to her Amsterdam summer boy friend, and that I picked up from the pavement in Amsterdam early 2009. So that’ll be kind of a ‘found narrative’. For historical reasons I call it ‘She used a little rouge’; the City Sonic version is the ‘soul version’

NBT Harold Schellinx FoundTapes

We can say that you also have an archivist activity as you rescue from oblivion the content of these founded tapes.

It probably is due to my tendency to do work that appears in long series that continue over many, many years (like the Found Tapes Exhibition, my SoundBlog, or – of more recent beginnings – the ‘unPublic’ series, that people often look at me, first of all, as a collector or archivist; and then second (because I often use analog and other obsolete media) as a ‘retro-fan’, a ‘Monsieur Analogique’ and an eulogist of something like ‘the good old days’.

All of that, though, is just trompe l’oeil.

Also with respect to my bible sized ULTRA book (in Dutch), which – disguised as a comprehensive history of ‘Ultra’, the Dutch version of experimental post punk music – in fact is a highly personal and autobiographical account of how a young Harold lived through and experienced the very turbulent but also very creative and exciting days of artistic and socio-political uproar in the late 1970s and early 1980s.

‘ULTRA’ really is a Bildungsroman (and not even merely in disguise). Moreover it is a very good one, if I may say so myself :-) – spiced with a pretty much encyclopedic account of Dutch underground experimental pop of the period 1978-1983, what you get is sort of an ‘auto-portrait of the artist as a young man’, and a clear-cut illustration of my ‘philosophy of history writing’, exemplified by the book’s motto (which is a quote from Orwell’s 1984: ‘Who controls the past,  controls the future [;] Who controls the present, controls the past’ …

I remain very thankful to the editor, Oscar van Gelderen, who commanded the book as part of a series of books on the independent art scene in the Netherlands in the 1980s, and gave me all the freedom as well as the means to write a thing like this in just a couple of months. I would never have been able to stand living with my own past for much longer that that :-)

Personally and artistically highly significant, as the book frames and closes a period in my life that was followed by many years in which music for me were mostly un-sounding ideas, that only began to start sounding again at the turn of the century… Actually, in that sense ‘The Art of the K7’ will be a sequel to ‘ULTRA’. Sort of like ‘Ultra. The re-awakening’ … Otherwise, I am not at all history-minded, and against anything that smells of ‘re-union’ and ‘retro’. The only time that counts is NOW; and it better be different from all the time that went before.

What future do you see for the audio tape in our « all-digital » era?

For someone who almost willy-nilly has been associated with cassette tapes for most of his life (the legendary Staalplaat label and cassette store actually came into existence because Geert-Jan Hobijn got inspired by an article that I wrote in the very early 1980s on the then beginnings of cassette culture), it is interesting to see how a new generation of music makers re-discover the fun of cassettes as easy-to-personalize objects, and put out a lot of really interesting and worthwhile music on cassette.

But I am not a tape fetishist.

If tapes were to disappear from the globe entirely – which eventually of course they will – I will not shed a tear (only hope to still find some of them in the trash though, of course :-) … For the moment: I guess that cassettes will continue to flourish in fringe settings, as collectables for amateurs of less common types of music, for as long as there will remain at least one factory able to make a profit by producing blank audio tapes.

What is maybe less evident is whether someone will continue to produce the necessary playback and recording equipment. Already now, performing with cassette machines becomes more and more like performing with antiques; dictaphones and other cassette/tape players are becoming more and more prone to malfunctioning, as well as ever more expensive to replace.

But as I mentioned before: I actually like – and in a way use (or mis-use) – the fact that over the years, as a ‘cassetteur’ (that is how blogger Mark Weidenbaum at some point baptized our Parisian community of K7-artists) my instruments gradually disintegrate, start to malfunction, break down, and eventually disappear altogether.

Eventually, I will be left with nothing at all to play and perform with. Except for the tapes that I can throw around and smash; tramping and stomping them around in a big basin, like stomping grapes for making wine … :-)

And yes, I actually love digital. Did I mention the iPhone apps that I produce with the ookoi? Or my ‘Große_Fuge.mp30000’?

So no. No regrets. Never.

One world lost, another one gained.

Never look back, unless it is to look forward.

What connections do you see between your sound artist and mathematician activities?

And yep! That is the third book … It will start by explaining how, when Iannis Xenakis died, and I went to Père Lachaise to attend his incineration together with somebody else that I bumped into when exiting gtom the metro (we actually followed one another), I ended up at the wrong funeral…

Sources : http://citysonic.be/festival2015/harold-schellinx-cassettophile-et-cassetteur-interview/

 

Média annexe : Sonic Radio – Interview de Dawaesch par Zoé Tabourdiot et Gilles Malatray – City Sonic 2015

INSTALLATION ET PERFORMANCE SONORE – SOUND OF SUITCASE – CITY SONIC ET RADIO SONIC 2015


SOUND OF SUITCASE – CITY SONIC 2015

Wang Chung Kun

Une installation, concert, performance de l’artiste Taïwanais Wang Chung Kun. C’est pour moi un des coup de cœur de cette édition, je vous parlerai bientôt des autres, c’est promis…. En tous cas, nous avons  eu à faire ici à une bien belle réalisation, où la technologie, assurément très poussée, s’efface pourtant derrière la musique, le son et l’œuvre plastique.

C’est un voyage sonore et visuel agréablement dépaysant. La poésie de cette installation et la maîtrise des objets/instruments par l’artiste interprète, tout en finesse, et qui plus est non dénué d’un brin d’humour, a conquis, à juste titre, un très large public. De la belle ouvrage comme on aimerait en voir plus souvent.

L’installation fonctionne également de façon autonome, grâce à des capteurs de mouvements qui détectent la présence des visiteurs lorsqu’ils s’approchent, ouvrant les valises sonores pour laisser voir et entendre leurs mécanismes en mouvement. Néanmoins, qui n’a pas assisté à une performance  concert ne peut soupçonner toutes les ressources et la magie intrinsèques de l’installation.

Prise de son et montage Desartsonnants

Promenade sonore by Desartsonnants – City sonic 2015 – Sonic Radio


Promenade sonore by Desartsonnants

City sonic 2015 – Sonic Radio 

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Petite promenade sonore dans le jardin du Mayeur et le musée du Doudou. On y entend, par ordre d’apparition à l’oreille, la plus ancienne installation sonore de Mons : Le carillon du beffroi, des promeneurs, les Soleils Evo-Sound du collectif Amadeo, les de Charles Pennequin, les douches sonores de Desartsonnants, Margarida Guia et des étudiants de l’ENSA de Bourges, Werner Moron et Manu Louis.
Promenade mixée »en temps réel » by Desartsonnants

citysonic.be/festival2015/margarida-guia/
citysonic.be/festival2015/charles-pennequin/
citysonic.be/festival2015/ensa-bourges/
citysonic.be/festival2015/amadeo-collectif/
citysonic.be/festival2015/manu-louis/
citysonic.be/festival2015/werner-moron/
citysonic.be/festival2015/gilles-malatray/


via Sonic Radio 2015 by Transonic.be | Transonic Be | Free Listening on SoundCloud.

EN ÉCOUTE – COMPILATION CITY SONIC 2015


COMPILATION CITY SONIC 2015

Comme chaque année, Transcultures, via le label Transonic, dans le cadre du festival international des arts sonores City Sonic à Mons, a édité un disque qui présente une grande partie des artistes invités à cet incontournable rassemblement qui nous en fait entendre de toutes les couleurs.

Musiques expérimentales, improvisées, installations plastico-sonores, ou sonores tout courts, soundscapes, et autres inclassables, sont rassemblés dans cette foisonnante compilation, pour le plaisir des oreilles curieuses et ouvertes.

Ces pièces, souvent extraites de créations plus conséquentes, à découvir in situ, dans des scénographies contextualisées, crées pour l’occasion, nous donnent  un aperçu de l’ambiance, de la température de City Sonic, un grand chantier sonore en ébullition, où se croisent  tant d’artistes, d’expérimentations, de formes esthétiques, de dispositifs, de parcours, d’interactions et autres choses singulières, ludiques, de celles qui en bref mettent l’écoute au centre de la scène.

« … A l’occasion de cette édition spéciale de City Sonic, l’alter label Transonic sort une compilation CD City Sonic 2015 reprenant une vingtaine de pièces (pour la plupart inédites) d’artistes participant au festival (Janek Schaefer, Martyn Bates, EZ3kiel, Jason Van Gulick, Fujui Wang, Charles Pennequin, Stéphane Croibien, Isa Belle+Paradise Now, Matthieu Safatly…)

Cette sélection peut s’écouter comme une sorte de catalogue raisonné (impossible ici de reprendre toutes les propositions dont certaines ne peuvent pas être résumées dans ce format) qui témoigne de ce moment où s’exprime librement, dans sa grande diversité (dispositifs audio numériques et audio-visuelles, instruments ré-inventés, poésie sonore, création radiophonique…), le stimulant bouillonnement de ces inventives pratiques soniques… 

Philippe Franck,
Directeur artistique »…

http://citysonic.be/festival2015/edition-du-cd-de-city-sonic-2015-sur-le-label-transonic/

PS : Gilles Malatray, aka Desartsonnants, est présent sur cette via un extrait de sa pièce « Mons le son », installée pour la durée du festival au tout nouveau Musée du Doudou

INTERVIEW DE JANEK SCHAEFER – CITY SONIC 2015 – SONIC RADIO


JANEK SHAEFER,

INTERVIEW CITY SONIC 2015

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Aux micros de la Sonic Radio 2015, Janek Shaefer, un artiste talentueux, enjoué et communicatif. Janek manie le son, l’image, l’objet, la scénographie de main de maître, proposant des situations d’écoute en résonance avec notre époque.

Un univers singulier, poétique, personnel, qui s’inscrit comme un travail multiformes très représentatif des arts sonores contemporain.

http://www.janekschaefer.com/Work.html

via Transonic.be | Free Listening on SoundCloud.

City Sonic 2015 – Parcours, une journée avec Werner Moron


City Sonic 2015 – Parcours, une journée avec Werner Moron

Werner

J’ai rencontré Werner il y a quelques années, à Mons précisément, lors d’un  précédent City Sonic. Nous devions parler, avec sa compagne et lui écoute, land art, pédagogie. Nous en avons parlé, et d’autres choses encore.

Puis je l’ai à nouveau croisé, l’année suivante, peignant une tente, ses talents sont multidisciplinaires, discutant avec qui voulait bien, de l’art, de la politique, du monde, d’autres mondes possibles, souhaitables. S’en sont suivies des discussions, interrompues, reprises, filées, ici ou là,  sur le net, par textes interposés. J’ai compris assez  vite son engagement humain, politique, éthique, social, physique, parfois impressionnant, dans tous les sens, ou l’essence du terme. J’ai beaucoup apprécié, et apprécie toujours, de plus en plus, ces échanges, qui me nourrissent, me questionnent, m’interpèlent. Il me pousse à revisiter le sens de l’art, du beau, du vivable, de la rencontre, du partage, de la vitesse ou de la décélération, de l’activisme, du verbe, de l’humain, du pourquoi, du comment, du que sais-je…

Nous avons, avec Tom et Zoé de la Sonic Radio, suivi Werner,  cette année à Mons, dans son projet de container « Architecture de la chance« , également dans un parcours poétique improvisé, et dans une performance à la Thanks Galerie durant la Sonic Garden. Il était accompagné de Manu Louis à la guitare et à la manipulation de sons.

Voici donc quelques sons qui, je l’espère lui seront fidèles, sachant qu’ils sont pour moi très impuissants à rendre compte de l’intensité de ce que l’on a vécu in situ. Il m’a été impossible par exemple, de capter l’intimité des poèmes lus au creux de l’oreille d’une passante, dans une petite boulangerie, à la vitre d’une voiture arrêtée pour l’occasion. Les micros auraient alors faussé ces rapports humains de proximité, voire les auraient tout simplement annihiler.

http://www.wernermoron.be/

http://agirparlaculture.be/index.php/sur-le-terrain/43-werner-moron-amener-a-tous-les-principes-actifs-de-lart

Container « Architecture de la chance »  » Werner Moron – City Sonic 2015

City Sonic 2015, festival international des arts sonores, Interview de Phillipe Baudelot


Phillipe Baudelot, City Sonic, un festival convivial

Interview par Gilles Malatray aka Desartsonnants, dans le cadre du festival international d’arts sonores City sonic 2015

Appel à projet – Installation interactive – Videographies Transnumeriques 2015 | Transcultures


APPEL À PROJETS VIDÉOGRAPHIES

Vidéographies (diffusion & promotion des arts vidéo et numériques) et Transcultures (Centre des cultures numériques & sonores) lancent un nouvel appel à projets pour une installation interactive (arts numériques, multimédia , media art, net art, bio art, arts sonores…) qui sera exposée dans le cadre des Transnumeriques 2015, biennale des cultures et émergences numériques initiée et coordonnée par Transcultures, événement partenaire de Mons2015, Capitale européenne de la Culture.

Deadline : 15 octobre 2015

Critères de sélection

L’appel est ouvert à toute personne ou groupe de personnes résidant en Europe dont le projet rentre dans les conditions techniques et financières de l’appel.
La proposition artistique pourra être une nouvelle œuvre (création), l’adaptation ou une nouvelle version d’une œuvre antérieure ou la diffusion d’une œuvre déjà produite sous condition de rentrer dans les conditions techniques et financières de l’appel.
Une attention particulière sera portée aux projets proposant un caractère innovant, une attention particulière sera accordée aux projets révélant une dimension poétique et/ou engagée, social, politique… dans la démarche et l’exploration de nouvelles formes d’expression.
Le projet devra pouvoir être exposé dans un des espaces du Manège de Sury à Mons pendant toute la durée de la biennale (vernissage le 27 novembre jusqu’au 12 décembre 2015).
Langues de soumissions des dossiers : français et anglais.
L’inscription et l’application se font uniquement via nos formulaire online – (mot de passe : Transcultures.be).
Conditions financières

Un budget forfaitaire de soutien à la création et diffusion de 1250 euros TTC sera accordée au projet sélectionné. Ce budget devra obligatoirement comprendre tous les frais et charges du projet (hors frais d’hébergement éventuels et de repas à Mons).

Un support technique et la communication du projet sera pris en charge par Transcultures et Vidéographies.
Contacts

Pour toute questions veuillez adresser un mail à Jacques Urbanska : urbanskaj@hotmail.com avec comme objet du mail : « TN2015 Vidéographie Call »
Partenaires

Videographies
Les Transnumeriques
Transcultures
Mons2015

Vidéographie, ce fut d’abord une émission TV produite et diffusée de 1976 à 1986 sur les antennes de la RTBF (Radio-Télévision belge d’expression française). Les téléspectateurs de la chaîne publique ont ainsi découvert l’art émergent de l’époque : la vidéo.

Née dans les années septante à l’initiative du producteur Jean-Paul Tréfois et de Robert Stéphane, Vidéographie fut la première émission en Europe à être exclusivement consacrée à la vidéo. Diffusée sur les antennes de la RTBF de 1976 à 1986, cette expérience télévisuelle fascinante et inédite qui s’est développée dans le sillage des révolutions esthétiques, politiques et technologiques de la fin des années soixante a toujours suivi, tout au long des 135 numéros produits durant cette décennie, le double objectif éducatif et artistique qui lui était fixé.

Vidéographie poursuit également sa mission de promotion de l’art vidéo qui se positionne déjà à cette époque comme l’une des formes d’art les plus importantes de la seconde moitié du XXe siècle. Espace communautaire tout autant que véritable canal de diffusion, l’émission va offrir au public la possibilité unique de découvrir les travaux des jeunes artistes américains, allemands et français de l’époque (Bill Viola, Nam June Paik, Wolf Vostel, Jean-Luc Godard), mais aussi, et surtout, va contribuer à l’émergence et à la reconnaissance de la vidéo belge (et singulièrement liégeoise) en rassemblant autour d’elle un certain nombre d’artistes singuliers parmi lesquels Jacques-Louis Nyst, Jacques Lizène, Jean-Claude Riga, Jacques Charlier, les frères Dardenne.

Lire la suite sur le site de Videographies

via Appel à projet – Installation interactive – Videographies Transnumeriques 2015 | Transcultures.

FESTIVAL CITY SONIC EN APPROCHE


CITY SONIC 2015 en approche

CitySonic – Festival des Arts Sonores #13 Teaser – with Muriel Alliot (Fr/Be), collectif amadeo (Be), archives poésie sonore Le Lieu (Qbc), Christophe Bailleau/Belle Jeunesse (Be), Martyn Bates (GB), Isa Belle+Paradise Now (Fr/Be), Sophie Berger (Fr), Damien Bourniquel (Fr), Claire Bourguin (Be), Jean-Guy Coulange (Fr), Stéphanie Croibien (Be), François Cys (Be), Dawamesk (Be), Jean D. L. (Be), Baudouin de Jaer (Be), Digital Art Festival/Foundation Taipei/Yao Chung-Han (TW), Wang Chung-Kun (TW), Wang Fujui (TW), Chang Yung-Ta (TW), Emergences sonores (Arts²-Mons, ARBA-ESA Bruxelles, Faculté d’Architecture et d’Urbanisme-UMons, ENSA Bourges, ESAD Valenciennes), EZ3kiel (Fr), Francis Flament (Be), Fleur (Be), Jacques Foschia (Be), Margarida Guia (PT), Isidore Isou/Natan Karczmar (Fr), Tom Jackson (GB), Maurice Charles JJ (Be), Gauthier Keyaerts (Be), Val Kiry (Fr), Dominique Lawalrée (Be), Linda Lewkowicz (Be), Manu Louis (Be), Gilles Malatray (Fr), Anton Mobin (Fr), Werner Moron (Be), Musiques Nouvelles (Be), Ordinaire + Jonas Luyckx (Be), Charles Pennequin (Fr), DJ Poncho (Be), Emmanuel Rébus (Fr), Matthieu Safatly (Be/Fr), Janek Schaefer (Gb), Harold Schellinx (Nl), Magali Schuermans (Be), Michèle Sigal (Fr), Taâlem (Be/Fr), Z0é Tabourdiot (Fr/Be), Taos (Be), Pascale Tison (Be), Jacques Urbanska (Be), Jason Van Gulick (Be/Fr), Sandrine Verstraete (Be), Laurence Vielle + Jean-Michel Agius + Eric D’Agostino (Be), VOID (Be/It)…

Et concernant Desartsonnants à City Sonic:

http://citysonic.be/festival2015/gilles-malatray/

http://citysonic.be/festival2015/sonic-radio/

FESTIVAL INTERNATIONAL D’ARTS SONORES – CITY SONIC 2015 APPROCHE !


CITY SONIC 2015 APPROCHE !

CitySonic – @SoundArt Festival @ Mons 2015 – Teaser
12 to 27.09.2015 (opening: 11.09)
http://citysonic.be

Cette treizième édition de City Sonic, festival international dédié à la diversité et la créativité des arts sonores, propose, dans le cadre de Mons2015, Capitale européenne de la culture, des parcours d’écoute dans le centre ville montois métamorphosant le centre ville montois en hub connecté à l’audio planète.

This thirteenth edition of City Sonic, an international festival dedicated to the diversity and creativity of sound arts, is held in the frameworl of Mons2015 European Capital of Culture. Sound itineraries in the centre of the city of Mons transform it in a great hub connected to the audio world.

Amadeo (Be), Archives poésie sonore Le Lieu (Qbc), Christophe Bailleau/Belle Jeunesse (Be), Martyn Bates (GB), Damien Bourniquel (Fr), Maurice Charles JJ (Be), Stéphanie Croibien (Be), François Cys (Be), Nicolas d’Alessandro (Be), Dawamesk (Be), Baudouin de Jaer (Be), Jean Delacoste (Be), Digital Art Festival Taipei/Yao Chung-Han – Wang Chung-Kun, Wang Fu-Jui, Chang Yung-Ta (TW), DJ Poncho (Be), Emergences sonores (Arts²-Mons, ARBA-ESA Bruxelles, Faculté d’Architecture et d’Urbanisme-UMons, ENSA Bourges, ESAD Valenciennes), EZ3kiel (Fr), Francis Flament (Be), Fleur (Be), Jacques Foschia (Be), Margarida Guia (PT), Isa Belle+Paradise Now (Fr/Be), Isidore Isou/Natan Karczmar (Fr), Dominique Lawalrée (Be), Tom Jackson (GB), Val Kiry (Fr), Manu Louis (Be), Gilles Malatray (Fr), Anton Mobin (Fr), Werner Moron (Be), Musiques Nouvelles (Be), Charles Pennequin (Fr), Ordinaire + Jonas Luyckx (Be), Rébus (Fr), Harold Schellinx (PB), Matthieu Safatly (Be/Fr), Janek Schaefer (GB), Taâlem (Be/Fr), Z0é Tabourdiot (Fr/Be), Taos (Be), Pascale Tison (Be), Jason Van Gulick (Be/Fr), Sandrine Verstraete (Be), VOID (Be/It) + Radio Sonic (la web radio du festival)…

Publication – Coffret livre + DVD Poésie Action : Variations sur Bernard Heidsieck


Publication – Coffret livre + DVD
Poésie Action : Variations sur
Bernard Heidsieck

Soit Bernard Heidsieck, un poète en action. Soit la poésie en action. Soit un ensemble d’œuvres de Bernard Heidsieck issu des collections du Centre national des arts plastiques et présenté par Anne-Laure Chamboissier et Philippe Franck dans l’exposition « Sonopoetics », à L’iselp, Bruxelles en 2010. Soit un désir de rencontrer un artiste pionnier et d’appréhender une œuvre singulière. Soit un cercle d’artistes qui témoignent. Soit un film pour réaffirmer l’importance et l’actualité de cette œuvre majeure. Soit un recueil de contributions inédites de Bernard Blistène, Jean-Pierre Bobillot, Anne-Laure Chamboissier, Anne-James Chaton, Philippe Franck, John Giorno, Jean-Marie Gleize, Bernard Heidsieck, Arnaud Labelle-Rojoux, Richard Martel et Michèle Métail.

Bernard Heidsieck, a poet in action. Or poetry in action. Or a collection of works by Bernard Heidsieck selected from the Centre national des art plastiques collections and presented by Anne-Laure Chamboissier and Philippe Franck at the Sonopoetics exhibition in Brussels, in 2010. Or a desire to meet a pioneering artist and explore his unique corpus. Or testimonials from a circle of artists. Or a film to affirm the importance and currency of this major corpus. Or an anthology of original contributions from Bernard Blistène, Jean-Pierre Bobillot, Anne-Laure Chamboissier, Anne-James Chaton, Philippe Franck, John Giorno, Jean-Marie Gleize, Bernard Heidsieck, Arnaud Labelle-Rojoux, Richard Martel and Michèle Métail.

Coédition a.p.r.e.s éditions / Centre national des arts plastiques

Workshop Écouter l’espace scénique


Workshop
Écouter l’espace scénique

MONS > MÉDIATHÈQUE

L’architecture comme la danse travaille l’espace ; l’un met en place des composantes statiques, l’autre permet de centrer la lecture spatiale par le mouvement induisant un rapport d’échelle du corps à son contexte. Capter le son d’un lieu en traduisant ses spécificités par le geste, tel est le nouveau défi de cet exercice interdisciplinaire où des architectes, des danseurs, des artistes sonores et des plasticiens croisent leurs pratiques. Après un premier workshop Ecouter l’espace scénique organisé au Dexia Art Centre à Bruxelles en mars 2014, ce deuxième temps de travail propose de déplacer l’exercice dans l’espace public de la ville de Mons. Ces lieux communs furent appelés il n’ya pas si longtemps encore «espace négatif» ou «espace non construit» se référant à l’architecture structurante de la ville. Il s’agit d’intervenir dans ces lieux fédérateurs de relation afin d’observer les nuances entre les usagers de la ville et ceux qui s’arrêtent devant la “performance” pour devenir spectateurs. La synthèse du deuxième workshop encadré par l’artiste sonore montois Stéphane Kozik, le chorégraphe/danseur bruxellois David Hayo et les architectes enseignantes, Pascale Petit et Lydia Bollen, sera présentée lors du festival City Sonic, en septembre 2015.

Architecture as the medium of dance work on space; one sets up static components, the other centers the spatial reading by the movement inducing a scale ratio of the body to its context. Pick up the sound of a place by translating its specificities through gesture, is the new challenge of this interdisciplinary exercise where architects, dancers, sound and visual artists cross their practices. After a first workshop « Listen to the stage space » organized in Dexia Art Centre in Brussels in March 2014, this second working time proposes moving the exercise in the public space of the city of Mons. These common spaces were called, not so long ago, « negative space » or « unbuilt space » referring to the structuring architecture of the city. We mean to intervene in these places unifying relationship in order to observe the nuances between users of the city and those who stop before the « performance » to become spectators. The synthesis of the second workshop framed by Mons sound artist Stéphane Kozik, the Brussels choreographer/dancer David Hayo and teachers-architects, Pascale Petit and Lydia Bollen) will be presented at Festival City Sonic in September 2015.

Partenariat Faculté d’Architecture et d’Urbanisme, ARBA/ESA-Académie Royale des Beaux-Arts de la Ville de Bruxelles, Transcultures

RÉSIDENCE « MACHINE À PRÉSENCE POÉTIQUE « 


RÉSIDENCE PROJET « CHŒUR(S)

MONS > TRANSCULTURES > FRIGO

Cette résidence de création technologique pour le projet Chœur(s), « machine à présence poétiques » initiée par Simon Dumas/Rhizome (Québec), fait suite à une première étape réalisée à l’Université Laval (au LANTISS, Québec) en janvier 2014. Pour ce deuxième temps de travail, seront impliqués à Mons : l’auteur et concepteur Simon Dumas, Philippe Franck, le directeur artistique de Transcultures et artiste sonore, ainsi que le concepteur et programmateur informatique québécois Louis-Robert Bouchard et le coordinateur technique français Emilien Baudelot qui travailleront sur la mise en forme finale de cette installation poétique et interactive réunissant sur écrans multiples 18 auteurs et artistes sonores belges et québécois. Première prévue en 2015 à Québec et à Mons.

This technological residence to develop the ‘Choeur(s)’ multimedia project, a  » poetic presence machine  » initiated by Simon Dumas/Rhizome follows a first step performed at Laval University (LANTISS, Quebec) in January 2014. For the second time working will be involved in Mons author and designer Simon Dumas, the artistic director of Transcultures and sound artist Philippe Franck, as well as the Quebec designer and computer programmer Louis-Robert Bouchard and French technical coordinator Emilien Baudelot to work on the final format of this poetic and interactive installation device involving 18 authors and sound artists on multiple screen towers. Choeur(s) will be premiered in Mons and in Quebec in 2015.

> TRANSCULTURES > FRIGO

Cette résidence de création technologique pour le projet Chœur(s), « machine à présence poétiques » initiée par Simon Dumas/Rhizome (Québec), fait suite à une première étape réalisée à l’Université Laval (au LANTISS, Québec) en janvier 2014. Pour ce deuxième temps de travail, seront impliqués à Mons : l’auteur et concepteur Simon Dumas, Philippe Franck, le directeur artistique de Transcultures et artiste sonore, ainsi que le concepteur et programmateur informatique québécois Louis-Robert Bouchard et le coordinateur technique français Emilien Baudelot qui travailleront sur la mise en forme finale de cette installation poétique et interactive réunissant sur écrans multiples 18 auteurs et artistes sonores belges et québécois. Première prévue en 2015 à Québec et à Mons.

This technological residence to develop the ‘Choeur(s)’ multimedia project, a  » poetic presence machine  » initiated by Simon Dumas/Rhizome follows a first step performed at Laval University (LANTISS, Quebec) in January 2014. For the second time working will be involved in Mons author and designer Simon Dumas, the artistic director of Transcultures and sound artist Philippe Franck, as well as the Quebec designer and computer programmer Louis-Robert Bouchard and French technical coordinator Emilien Baudelot to work on the final format of this poetic and interactive installation device involving 18 authors and sound artists on multiple screen towers. Choeur(s) will be premiered in Mons and in Quebec in 2015.

PARK IN PROGRESS – CITY SONIC 2014 – ARTISTES SÉLECTIONNÉS


PARK IN PROGRESS – CITY SONIC 2014 ARTISTES SÉLECTIONNÉS

 

Liste des artistes sélectionnés pour le Park in Progress 2014, qui se déroulera du 4 au 11 septembre prochain dans le cadre du festival City Sonic, in partnership wit Transcultures.

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Dear all, it’s with great pleasure, that we announce you the list of artists selected for Park in Progress, Mons, Belgium, which will take place from 4 to 11 September in framework of CitySonic – Festival des Arts Sonores, en partenariat avec Transcultures asbl.

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Artistes Sélectionnés / Selected artists :

Basak Gunak & Gizem Aksu
Matt Coco
Olivier Gain
Anna Gaïotti
Ionna & Gavriil
Jason Van Gulick
Mathias Isouard
Pepa Ivanova
Zaki Jawhari
Lukas Kellner
Adrien Lefevbre
Ariane Loze
Marc Parazon
Alessandro Perrini
Julien Poidevin
Tomoko Sauvage
Scénocosme
Sam Spreckley

Voici donc une palette d’artistes tout à fait alléchante. Entre des artistes que je connais bien et dont je suis le travail depuis quelques années déjà, et d’autres que je découvrirais in situ, à micros ouverts, les domaines de création sont, à visiter les sites nternet,  multiples… Performances, installations, vidéos et autres inclassables, tout cela promet une belle édition pour le Park In Progress et City Sonic 2014.